à Julia y Andrès Ciafardini Je pénètre dans le couloir et j’entends déjà les accords. «Viens, viens, me dit-il, c’est Di Sarli, je le mets toujours l’après-midi». J’écoute et je marche lentement. C’est le Tango, bien sûr, quoi d’autre, qui nous guide dans ce voyage. «Viens, viens, assieds-toi, qu’est ce que tu veux savoir ? […] ↓ Lire la suite